RECENSION : Les affaires de fausses accusations de violences sexuelles (2012>2019)
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octobre 2019 : UN PROF A GENEVE
Trois élèves filles de 13 ans accusent un de leurs enseignants (d’éducation physique) d’attouchements. Il est aussitôt suspendu, mais dépose plainte pour calomnie. Les enquêtes s’enclenchent, et la version de la principale accusatrice change : il s’agit peut-être d’une blague d’un camarade, elle n’a rien vu, puis elle s’excuse. L’enquête blanchit l’enseignant, et condamne la jeune fille. L’enseignant sort cependant de cette épreuve complètement perturbé.
https://www.lematin.ch/story/attouchements-une-eleve-genevoise-condamnee-pour-calomnie-894818607731
30 avril 2019 : UN OCTOGENAIRE A VILLEURBANNE (Rhône)
Cet homme regarde jouer des enfants d’une école maternelle du Tonkin. Des "jeunes" l’accusent de penchants pédophiles, et le bousculent. Il tombe sur la tête et meurt deux jours plus tard d’un traumatisme crânien.
février 2019 : MARC BOUHOURS (Auch)
Dans la dernière partie d’une longue carrière, cet enseignant d’histoire-géographie est victime en 2019 d’une rumeur diffamatrice, suivie d’accusations, et d’une mise en examen. Il est condamné en juin 2022, pour agression sexuelle sur 14 jeunes filles du collège Carnot à Auch, à 2 ans d’emprisonnement dont 1 avec sursis. Le 28 septembre 2022, la Cour d’appel d’Agen le relaxe. Ce qui ne l’empêche pas d’être anéanti par ce quatre ans et demi de persécution judiciaire.
(?) 2018 : UN PERE ESPAGNOL
Un couple se forme autour de 2012. Naissance d’une fillette. Il se sépare en 2018 ; le père demande la résidence alternée. Sa femme, qui veut la résidence exclusive, l’accuse alors de huit attouchements et d’un viol sur leur fille, qu’elle soumet à huit examens médicaux ou psychologiques, qui ne démontrent rien. En mai 2022, le tribunal de Grenade la condamne à 5 ans de prison, et à verser au père et à sa fille 40 000 euros. L’autorité parentale lui est retirée pendant 10 ans. Il s’agirait de la condamnation la plus lourde en Espagne pour ce genre de fait.
novembre 2018 : LUC VANDENHOVE (Cergy, Val d’Oise)
Enseignant contractuel de mathématiques au collège de Cegy, il est informé par la principale que deux élèves filles l’auraient vu se masturber derrière son bureau dans la salle de classe, vide, depuis le couloir à travers une baie vitrée. Il est aussitôt suspendu par le rectorat de Versailles, et, bien qu’une des accusatrices se soit rétractée, convoqué deux mois et demi plus tard. Il est accueilli comme un coupable avéré ; cependant le rectorat renonce à la procédure disciplinaire. Il s’apprête à reprendre son poste, mais on lui annonce que son contrat dans l’établissement n’est pas renouvelé. Il est affecté dans un autre collège.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/un-professeur-temoigne-de-son-calvaire-apres-avoir-ete-accuse-a-tort-par-des-eleves20190408
novembre 2018 : SYLVAIN BAUDET
Son épouse, Natacha saint Laurent, fait un malaise pendant le travail qu’elle effectue chez un voisin, Sylvain Baudet. Elle raconte l’incident à son mari, Mac Manus, qui se persuade que Baudet a agressé sa femme sexuellement. A force d’être interrrogée par son mari sur cette version, elle la cautionne. Mac Manus attaque Baudet et le frappe de plusieurs coups de marteau. Malgré ses dénégations, il est reconnu coupable de neuf chefs d’accusation.
novembre 2018 : UN HOMME A PERPIGNAN
Une jeune mère de famille accuse son compagnon de l’avoir violentée et violée. L’homme est placé en détention. Mais courant février, elle confie aux enquêteurs qu’elle a tout inventé, par jalousie. Fin septembre, elle est jugée pour dénonciation calomnieuse et condamnée à 18 mois dont 12 avec sursis et 6 aménageables.
13 octobre 2018 : ERIC BRION
La journaliste indépendante Sandra Muller accuse publiquement Eric Brion (ex-patron de la chaîne Equidia) de harcèlement sexuel. Elle lui reproche trois phrases lors d’une soirée arrosée,qui expriment très clairement une proposition sexuelle. Certes elle est formulée de manière un peu salace, mais c’est seulement une proposition. De plus, il se trouve :
- qu’ils se connaissent depuis 15 ans et se tutoient ;
- qu’il n’est pas son supérieur ni même son collègue au plan professionnel ;
- que la proposition (qui s’est heurtée à un refus) n’a pas été réitérée ;
- qu’à aucun moment il n’y a eu de contrainte ou de violence.
Elle en profite pour lancer la campagne Balance ton porc, écrire un livre, etc.
EB lui intente un procès en diffamation : le 25 septembre, SM est condamnée à 15000 E de préjudice moral.
16 août 2018 : UN HOMME DANS L’OISE
Son épouse, d’avec laquelle il est en train de se séparer, l’accuse de viols. Au commisssariat de Creil, il est mis en examen pour viol conjugal et ne peut plus voir son fils de 10 ans que dans un espace médiatisé. Ce fils lui révèle que sa mère a un nouvel amoureux, un policier, et donne son prénom. En novembre, auditionné par le juge d’instruction, le fils l’identifie sur photo. Le mis en cause découvre avec effarement qu’il s’agit de l’enquêteur qui gère son affaire.
Une enquête est confiée à l’IGPN. Le 26 février, saisie par le mis en cause, la Cour d’appel d’Amiens annule toute la procédure. Son ex-épouse est mise en examen pour dénonciation calomnieuse.
12 juin 2018 : GILBERT COLLARD (Fréjus)
Plainte est déposée contre lui pour 2 viols présumés, commis en 2006 et 2007 à son cabinet d’avocat. La plaignante est une de ses anciennes clientes. Fin octobre, la plainte est classée sans suite pour absence d’infraction.
18 mai 2018 : LUC BESSON (Paris)
L’actrice Sand Van Roy accuse le réalisateur de viols, qui se seraient produits à différentes époques (entre 2016 et 2018), dans le cadre professionnel. La première enquête aboutit en décembre 2021 à un non-lieu, confirmé par la Cour d’appel de Paris en mai 2022. Sand Van Roy se pourvoit en cassation. Le 21 juin 2023, la Cour de cassation rejette son pourvoi.
4 avril 2018 : UN POLICIER FRANCAIS EN THAILANDE
En vacances en sur l’île de Koh Tao, Yohann rencontre une jeune anglaise, Bethlyn, et le soir, sous l’oeil des caméras de surveillance, la raccompagne à son hôtel, où ils restent ensemble jusqu’au lendemain matin. Quelque jours plus tard, il est arrêté. La plainte pour viol de Bethlyn ne tient pas la route, mais les diverses investigations l’immobilisent deux mois, aux cours desquels son identité et son portrait sont diffusés dans les médias en tant que "violeur". Il semble que Bethlyn ait préféré inventer un viol, plutôt que de dire la vérité au compagnon de voyage avec lequel elle entretenait une relation amoureuse.
25 mars 2018 : UN PRETRE DANS LA MARNE
Le procureur de la République de Châlons-en-Champagne reçoit d’un couple une lettre accusant ce prêtre d’attouchements sur de jeunes garçons, dans le cadre d’un foyer. L’enqête ouverte est close le 15 octobre, aucun élément ne venant étayer l’accusation. Le Parquet poursuit le couple pour dénonciation calomnieuse.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/10/29/97001-20181029FILWWW00150-un-couple-poursuivi-pour-fausses-accusations-de-pedophilie-contre-un-pretre.php ?fbclid=IwAR2Em7oJ98KYVXMVqlDyitu4Wu-cAh3ABvZ15b3tA80KaYo5OkPt_r7tgaE
13 mars 2018 : PHILIPPE CAUBERE
La comédienne Solveig Halloin (ex-Femen) l’accuse de l’avoir agressée sexuellement chez lui près de Paris en février 2010, et violée en mars 2010 dans sa chambre d’hôtel. Puis elle reconnaît qu’en fait elle n’a jamais exprimé de refus, car "sous emprise". Le 18 février 2019, le Parquet classe la plainte pour "absence de charges". Le 17 septembre 2021, le tribunal correctionnel de Paris condamne Solveig Halloin pour diffamation à une amende de 500 euros avec sursis. Une faible condamnation en regard du fait que la carrière du comédien est gravement compromise.
https://www.franceinter.fr/justice/le-comedien-philippe-caubere-blanchi-des-accusations-de-viol
mi-janvier 2018 : DEUX HOMMES A CHARLEROI (Bruxelles)
Une étudiante liégeoise de 18 ans déclare avoir été emmenée, comme droguée, et violée pendant 3 jours par 5 hommes dans un studio. Deux suspects sont arrêtés et deux autres sur le point de l’être. Leur avocat soulevant des incohérences, la juge d’instruction fait réentendre l’étudiante, qui reconnaît finalement avoir été consentante.
27 novembre 2017 : ROY MOORE (candidat à l’élection présidentielle US)
Le Washington Post recueille le témoignage d’une jeune femme, Jaime Philips, qui prétend avoir été victime du candidat alors qu’elle était mineure. Placée devant ses contradictions, elle retire son témoignage, qui s’avère ensuite commandité par Project Veritas, un groupe qui s’efforce de piéger les grands médias américains avec de fausses informations.
20 octobre 2017 : CHRISTOPHE AREND (Moselle)
Ce député LRM est accusé par une ancienne assistante parlementaire de harcèlement et agression sexuelle. Cinq semaines d’enquête approfondie mettent en évidence de nombreuses incohérences dans les déclarations de celle-ci : par exemple, elle a envoyé au député de nombreux messages qui s’interprètent plutôt comme des avances ; à l’inverse aucun message du même genre n’a été envoyé par lui. Le 29 novembre, l’affaire est classée sans suite.
automne 2017 : PIERRE JOXE (Paris)
Alexandra Besson (dite Ariane Fornia, fille de l’ancien ministre Eric Besson) accuse Pierre Joxe de l’avoir agressée sept ans plus tôt, à l’Opéra Bastille, lors d’une représentation de l’Or du Rhin où il était son voisin (pressions sur les cuisses et l’entrejambe). Pierre Joxe gagne son procès en diffamation, au titre que la base factuelle produite par son accusatrice est insuffisante. En 2018, la Cour de cassation annule cette décision, arguant qu’on peut accorder à Alexandra Besson le bénéfice de la "bonne foi" !
https://www.tdg.ch/monde/condamnee-fausse-accusation-abus-sexuel/story/11181456
11 août 2017 : UN CONJOINT A VICHY
Sa conjointe quadragénaire affirme qu’il l’a violée et séquestrée. L’enquête commence avec de lourds moyens. Mais le 12 au soir elle reconnaît qu’il s’agit d’une invention, motivée par la vengeance par rapport à la dispute violente qui avait eu lieu entre eux deux. Le 13 janvier 2018, elle est condamnée à trois mois de prison avec sursis pour dénonciation calomnieuse.
29 juin 2017 : AFFAIRE D’OSTENDE (Belgique)
Deux jeunes gens en couple affirment être sortis d’un bal organisé par leur école au casino, et avoir été menacés par 3 hommes. Ceux-ci leur auraient volé 70 euros, avant de violer la jeune fille de 18 ans sous les yeux de son compagnon, impuissant. Rapidement, l’enquête montre que rien de cela ne s’est passé, sans que les affabulateurs puissent expliquer leur comportement.
http://5minutes.rtl.lu/grande-region/laune/1052026.html
juin 2017 : GERALD DARMANIN (Tourcoing)
Contre ce ministre de l’Action et des comptes publics, Sophie Spatz (ex Olga Patterson, ex call-girl) porte plainte pour un viol qui remonterait à 2009. A cette époque, elle avait eu un entretien avec GD, alors chargé de mission aux affaires juridiques de l’UMP, pour lui demander d’intervenir à propos d’une condamnation dont elle avait été l’objet en 2004, pour "chantage, appels malveillants et menace de crime" sur un compagnon. Par la suite, elle accepte de le suivre au restaurant, puis dans un club, puis à l’hôtel, où ils ont des rapports sexuels, apparemment sans qu’intervienne une quelconque forme de contrainte. Elle ne porte plainte que 8 ans plus tard, lorsque GD est nommé au gouvernement. Le 17 juin 2017, celui-ci réplique par une plainte en dénonciation calomnieuse. Mais SP ne répond pas aux convocations des enquêteurs, et sa plainte est classée sans suite le 11 juillet 2017. Soutenue par Caroline de Haas, SP fait réouvrir l’enquête le 22 janvier 2018, prétendant qualifier le viol de "par surprise". GD, soutenu par le premier ministre et les députés LREM, refuse de démissionner. La plainte est à nouveau classée sans suite le 16 février 2018. Le 28 février, SP dépose une nouvelle plainte ; le 16 août le juge rend une ordonnance de non-lieu. En juin 2020, la Cour d’appel de Paris ordonne la reprise des investigations. Le 11 juillet 2022, une juge ordonne un non-lieu. Sophie Spatz se pourvoit en cassation : le 14 février 2024, la Cour de Cassation rejette ce pourvoi.
14 mai 2017 : GLENN BARIBEAU (Québec)
Il est accusé d’agression et de tentative d’enlèvement par une fille de 13 ans, le jour de la Fête des Mères, au pied du Cap-Blanc, Québec. Il est interrogé, fouillé, détenu pendant sept heures. Neuf jours plus tard, elle reconnaît avoir tout inventé et s’être infligé à elle-même des blessures. Le 26 février, elle est condamnée à verser la somme de 10 540§ à M.Baribeau.
14 avril 2017 : AFFAIRE DE LYON 3e (Rhône)
Une jeune femme de 18 ans prétend avoir été contrainte par 3 hommes à monter dans une camionnette, rue Antoine Charial, puis avoir été sexuellement agressée par eux. A la seconde audition, elle reconnaît avoir tout inventé.
https://www.lyonmag.com/article/87268/lyon-elle-invente-son-enlevement-et-une-agression-sexuelle
8 avril 2017 : AFFAIRE DE BAGNOLET
Une ado de 15 ans prétend avoir été ce samedi soir la victime de vol et d’agression sexuelle dans la rue Sadi Carnot, de la part de trois hommes. Le 13 elle reconnaît avoir menti pour justifier son retard, et s’être fait elle-même des entailles au visage.
fin mars 2017 : UN PROF DES ECOLES A PARIS (7e)
Il enseigne en CM2, au sein de l’ensemble scolaire privé Sainte Jeanne Elisabeth. Sept collégiennes de 6e l’accusent de "câlins" et "embrassades" réguliers, en particulier pendant les classe vertes. Le rectorat le suspend. Le 18 décembre, l’enquête pour "agressions sexuelles sur mineurs" aboutit à un classement sans suite. Le rectorat laisse courir la suspension jusqu’à janvier pour aménager son affectation dans une nouvelle école, très éloignée de la précédente.
fin mars 2017 : UN PERE DE FAMILLE A TOURCOING
Une jeune fille de 16 ans affirme avoir été enlevée par le conducteur d’un 4X4 et violée de façon brutale au fond d’un bois. Elle réitère avec force ses déclarations. L’enquête s’oriente vers un père de famille propriétaire d’un 4X4, habitant Tourcoing, âgé de 36 ans. Il est interpellé au petit matin de façon musclée. Mais au bout de douze jours d’enquête, il apparaît que c’est la jeune fille qui était en demande de relation sexuelle, et elle reconnaît avoir tout inventé. Jugée par le tribunal de Beauvais pour dénonciation calomnieuse, elle est condamnée à une mesure de protection judiciaire et à à une indemnisation des préjudices.
8 mars 2017 : AFFAIRE DE DENISON (Texas)
Son fiancé informe la police que Breana Harmon Talbott a disparu, et celle-ci se mobilise pour la rechercher. Quelques heures plus tard, la jeune fille de 18 ans se présente dans une église à moitié nue, couverte de coupures et de bleus. Elle explique avoir été enlevée par trois hommes noirs et violée dans un bois à l’arrière de l’édifice religieux de Denison. Mais, les jours suivants, elle est amené à reconnaître avoir procédé à une mise en scène, et s’être infligée elle-même les blessures.
février 2017 : DES SOLDATS DE L’OTAN (Lituanie)
Une rumeur se répand, suite à un email envoyé aux autorités et à la police affirmant que des hommes en uniforme ont violé une mineure près d’une caserne dans le centre du pays. Le ministère lituanien de la Défense déclare qu’il s’agit d’une fausse accusation, destinée à discréditer l’installation de soldats allemand de l’OTAN.
10 février 2017 : MOHAMED MEHDI GHANMI (Québec)
Arrivé en janvier de Tunisie, cet étudiant de 26 ans est accusé d’agression sexuelle par une relation féminine. L’Université Laval l’exclut ; les sommes prévues pour ses études se volatisent dans les procédures. Il produit de nombreux messages dans lesquels il apparaît que la présumée victime était à l’inverse en demande de ses faveurs, qu’il ne lui accordait pas. Le 10 mai, la Couronne décide l’arrêt des procédures.
http://www.tvanouvelles.ca/2017/05/10/agression-sexuelle-la-couronne-exige-un-arret-des-procedures
février 2017 : CRAIG EADE (Gateshead, Angleterre)
Cet homme de 23 ans souffre de troubles de l’apprentissage, après avoir survécu à une tumeur au cerveau. Il subit une vague de rumeurs sur les réseaux sociaux, l’accusant entre autres d’une prétendue agression sexuelle. Un individu décide de faire justice, et l’assassine à son domicile. Il est arrêté quelques semaines plus tard : il s’agit de Paul Watkins, un repris de justice.
10 janvier 2017 : UN RESIDENT DANS UN FOYER A AGEN
Une jeune femme de 20 ans, d’origine camerounaise, porte plainte pour viol contre un togolais, résidant comme elle dans un foyer pour ressortissants étrangers. Suite à la confrontation, elle reconnaît que la relation était consentie, et avoir menti pour ne pas compromettre sa relation avec son compagnon régulier. Elle est condamnée à 6 mois de prison avec sursis.
http://www.ladepeche.fr/article/2017/05/25/2581469-elle-avait-denonce-un-viol-imaginaire-6-mois.html
janvier 2017 : UN PERE ARTISAN DE MONACO
Sa conjointe l’accuse d’avoir violé leur petit garçon de 3 ans. Mais les examens médicaux et les entretiens avec les experts démentent complètement l’accusation. Il apparaît que la mère a fait chambre à part avec l’enfant, dès sa naissance. De même, malgré le dépôt de plainte, elle a continué à vivre sous le même toit que son mari. Et après le divorce, elle ne s’oppose pas à la résidence alternée. Le 15 novembre, poursuivie pour dénonciation calomnieuse, elle est condamnée par le tribunal correctionnel de Nice à 2000 euros d’amende avec sursis.
2016-2020 : MOHAMMED RAMZAN ET D’AUTRES HOMMES (Ryaume-Uni)
Une jeune femme de 22 ans, Eleonor Williams, accuse cet entrepreneur britannique de viol. Jusqu’en 2020, elle accuse plusieurs hommes, selon les cas, de viol, de violences et de traite d’être humain. Certains tentent de se suicider. Elle va jusqu’à se défigurer elle-même et partager sa photo sur les réseaux sociaux. En janvier 2023 elle est condamnée par la Cour de Preston (ouest de l’Angleterre) à huit ans et demi de prison, pour neuf chefs d’accusation.
(?) 2016 : UN PRETRE EN HAUTE-VIENNE
Une paroissienne octogénaire écrit à l’évêque de Limoges pour l’alerter sur de présumés comportements pédophiles de ce prêtre. L’enquête le blanchit. Il porte plainte pour dénonciation calomnieuse. Le 26 janvier 2017, le tribunal correctionnel de Limoges la condamne à une amende de 1000 euros dont 500 avec sursis.
16 décembre 2016 : UN DIRECTEUR DE CENTRE DE LOISIRS (Pantin, Seine Saint Denis)
Un jeune garçon de 5 ans raconte à ses parents, avec précision, avoir subi des attouchements dont l’auteur serait le directeur du centre de loisirs Jean-Jaurès. Le père vient agresser celui-ci dans son bureau à coups de casque et le blesse grièvement (45 jours d’ITT). Lors de l’enquête, l’enfant reconnaît avoir tout inventé, sans préciser ses raisons.
fin novembre 2016 : DEUX JOUEURS DE FOOT (Wemmel, Belgique)
Revenant chez elle à l’approche de Noël avec un mauvais bulletin scolaire, une jeune fille de 12 ans affirme avoir été violée fin novembre par 2 joueurs de foot de 14 et 15 ans à proximité d’un terrain. Ses parents portent plainte, et sa mère se répand dans tout le village pour alimenter l’accusation. Mais l’enquête montre qu’elle a tout inventé.
novembre 2016 : DEUX FRERES JUMEAUX (Lyon 9e)
Un collégien du quartier de Vaise accuse ces frères (d’origine iranienne) de l’avoir suivi dans la rue. Le 16, sa mère et une amie coincent l’un d’eux dans son allée, le photographient et publient la photo sur FB, avec pour légende : "Voilà les pédophiles qui suivent des enfants, dont mon fils" ; un blogueur, Bassem Braiki (= Chronic 2 Bass) publie une video dans laquelle, posté devant leur domicile, il appelle implicitement la population à faire justice. Le soir, l’un des frères est violemment agressé dans la rue par trois individus. L’enquête de police démontre qu’aucune des allégations n’est fondée. Le 19 Braiki fait ses excuses devant sa caméra.
18 novembre 2016 : UN PROF D’EPS A CHAMBERY
Exercant au collège Louise de Savoie, et ce matin-là dans le cadre d’une classe de sixième, il contraint trois élèves filles à se déplacer, pour cause de bavardage. Celles-ci l’accusent aussitôt d’agression sexuelle auprès de l’administration du collège. Leurs parents déposent plainte. Pendant un mois, il fait acte de présence au collège sans pouvoir donner cours. Le 4 janvier 2017, ses collègues organisent une grève de soutien. Le 26, l’affaire est classée sans suite. En mars les accusatrices passent en conseil de discipline, et deux d’entre elles sont sanctionnées par une exclusion définitive... avec sursis. Mais la diffamation continue : il demande au rectorat d’affirmer officiellement son innocence, ce que celui-ci refuse. Le 23 mars, il porte plainte contre les accusatrices.
http://www.ledauphine.com/savoie/2017/11/12/un-professeur-se-bat-pour-retrouver-son-honneur
17 novembre 2016 : UN PROF DES ECOLES A GENLIS (Côte d’Or)
Après avoir effectué le 14 novembre une journée de remplacement à l’école de La Chênaie, en compagnie d’une collègue affectée là par erreur, il est l’objet d’une plainte d’une mère (gendarme, auprès de la Gendarmerie) pour le présumé viol de sa fille de 4 ans. Il est placé en garde à vue et, quoique sa collègue témoigne qu’elle ne l’a pas quitté de la journée, mis en examen et incarcéré le 19. L’académie le suspend avec traitement, puis supprime son traitement le 6 février 2017. Le 23 mars, une seconde expertise du slip de la fillette détecte des traces génétiques appartenant à un membre de sa famille : le professeur est libéré le 24 mars, mais reste mis en examen et est assigné à résidence. Aucune autre mise en examen n’est prononcée. A partir de juin, un Comité de soutien réussit une forte mobilisation professionnelle et médiatique, mais il n’obtient le statut de témoin assisté que le 15 novembre.
Notre dossier : http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article422
5 novembre 2016 : UN HOMME A VENCE (Alpes-maritimes)
Son ex-amie, âgée de 18 ans, l’accuse de l’avoir violée alors qu’elle séjournait dans son appartement, et pendant le sommeil de sa nouvelle amie, également présente. Suite à l’enquête, elle reconnaît avoir tout inventé pour se venger d’avoir été éconduite.
http://www.nicematin.com/faits-divers/pour-se-venger-elle-accuse-son-ex-ami-de-viol-92386
octobre 2016 : GERRY SKLAVOUNOS (Québec)
Alice Paquet, à l’occasion d’une manifestation étudiante contre les agressions sexuelles, déclare avoir été agressée par ce député de la circonscription de Laurier-Dorion, en juillet 2014, alorsqu’elle avait 19 ans. Les faits se seraient passés dans un hôtel de Québec où elle était hôtesse et lui client. Elle déclare avoir accepté de l’accompagner dans sa chambre, avoir refusé ses avances puis avoir été violée. Et y être retournée deux semaines plus tard, pour demander des explications, ce qui aurait donné lieu à une seconde agression. Par peur des conséquences, elle aurait attendu 2 ans pour porter plainte, et, même après l’avoir fait, avoir raccroché lors de l’appel des services de police. Le député est exclut du groupe libéral. Mais CP, au long de ses nombreuses interventions médiatiques, s’enferre dans plusieurs contradictions. Le 2 février l’autorité judiciaire conclut qu’"aucun acte criminel n’a été commis" ...tout en ne manifestant aucune velléité de poursuivre l’intéressée. Les misandres locaux continuent de la soutenir, et le groupe parlementaire de Sklavounos décide de ne pas le réintégrer.
http://www.ledevoir.com/societe/justice/490699/dpcp-sklavounos-alice-paquet
(?) août 2016 : UN RECRUTEUR A NICE (Alpes-maritimes)
Une femme de 35 ans porte plainte pour un viol qui se serait passé lors d’un entretien d’embauche. Au terme de l’enquête, elle reconnaît avoir menti pour justifier devant son compagnon une relation sexuelle avec le recruteur. Elle est déférée au parquet pour "dénonciation de crime imaginaire".
https://www.faitsdivers.org/23551-Nice-elle-invente-un-viol-pour-cacher-son-adultere.html
28 août 2016 : UN HOMME A CAEN (Calvados)
Une femme de 18 ans porte plainte pour viol contre un homme. Devant les réserves du médecin qui l’examine, elle reconnaît qu’il s’est agi, en fait, d’une relation consentie, dans une chambre d’hôtel. Elle est poursuivie par le ministère public pour dénonciation de crime imaginaire.
25 août 2016 : AFFAIRE DE RAON L’ETAPE (Vosges)
Une femme de 26 ans déclare aux gendarmes avoir été victime d’une tentative de viol par deux hommes. Le 21 septembre, découverte dans la campagne ligotée et inconsciente, elle déclare une nouvelle tentative de viol, par les mêmes hommes. Son récit apparaissant suspect, elle est placée en garde à vue, ou elle reconnaît avoir inventé les deux agressions, suite à la perte des clés du commerce dans lequel elle est employée. Elle est inculpée pour dénonciation mensongère.
été 2016 : UN PERE BRITANNIQUE (?)
Sa fille adolescente l’accuse de l’avoir violée à 8 reprises en 6 ans, et parvient à convaincre la police de sa crédibilité. L’avocate du père, Cathy Mc Culloch, est frappée par la maturité du discours de la jeune fille. Lorsque le père lui explique que la lecture préférée de celle-ci est Cinquante nuances de Grey, elle lit l’ouvrage et découvre des similitudes frappantes.
A l’audience, il ne lui faut que 7 minutes pour confondre la jeune fille, qui reconnaît que sa plainte n’a pas de réalité, et qu’elle s’est largement inspirée du roman. Ceci pour se venger de son père, qu’elle touve trop autoritaire. (Voir en 1999, Antonio Madeira : même rôle déterminant des séries).
août 2016 : DEUX ANIMATEURS SCOLAIRES (Montreuil)
Les parents de 3 élèves scolarisés à l’école maternelle Louis Aragon portent plainte contre deux animateurs pour viols et agressions sexuelles. Le 17 novembre, la procureure Fabienne Klein-Donati annonce qu’après enquête, elle classe sans suite. La municipalité soutient ses personnels mis en cause et dénonce les manipulations, les associant à celles de l’affaire Caïs (voir 21 juin 2016). Ce qui ne dissuade pas Wanted Pedo de prend fait et cause pour les plaignants, en particulier le 9 mars lorsque trois d’entre eux, des pères, sont convoqués au commissariat de Montreuil suite à une plainte d’un mis en cause pour menaces de violence !
31 juillet 2016 : UN QUINQUAGENAIRE A SAINT-LOUIS (La Réunion)
Une femme de 24 ans aux moeurs légères monnaye ses charmes auprès d’un homme rencontré par hasard. Pour obtenir un maximum, elle menace de l’accuser de viol. Elle va jusqu’à appeler au secours en bas du domicile du domicile de son frère. Celui-ci, handicapé mental, y croit et descend frapper l’homme de 9 coups de couteau, le rendant invalide à 50%. Le 1 mars 2018, le tribunal de Saint-Pierre condamne le frère à 3 ans ferme et un de sursis, et la jeune femme... à rien du tout.
21 juin 2016 : AFFAIRE CAIS (Montreuil)
Le petit Caïs (4 ans) rentre de l’école Jules Ferry et se plaint de douleurs. Les médecins de l’hopital décèlent une "fissure anale". La famille croit aussitôt à l’agression sexuelle et porte plainte. Pourtant, l’expertise médico-légale conclut que la blessure peut être le fait de l’introduction d’un jouet, ou d’une constipation. L’enquête ne fournissant aucune piste, la procureure classe. Mais l’affaire est reprise par une association communautaire panafricaine, Unité Dignité Courage, qui accuse de pédophilie et de racisme la mairie, le corps enseignant, la police, etc. L’UDC met en place des videos dénonciatrices, des intrusions agressives dans l’école, un rassemblement le 4 juillet, une pétition, etc..
http://www.humanite.fr/montreuil-le-venin-de-la-rumeur-se-repand-611817
26 avril 2016 : UN HOMME A SAINT OMER (Nord)
Une femme de 18 ans porte plainte au commissariat de Saint-Omer pour un viol qu’elle aurait subi la veille, à Saint-Martin-lez-Tatinghem, lors d’une soirée entre amis dans un centre hospitalier. L’enquête fait apparaître que la relation était consentie. Le Parquet porte plainte pour dénonciation de crime imaginaire.
8 février 2016 : AFFAIRE DE VENISSIEUX (Rhône)
Une jeune fille de 15 ans raconte qu’elle a été agressée, près de la ligne T4, par des jeunes qui l’ont ensuite emmenée dans un coin isolé et violée. L’enquête l’amène à reconnaître qu’elle a tout inventé pour justifier son retard.
http://www.leprogres.fr/rhone/2016/02/11/venissieux-elle-invente-un-viol-pour-justifier-son-retard
février 2016 : UN PERE A MONTMEDY (Meuse)
Après leur séparation en janvier, son ex-conjointe porte plainte contre lui pour attouchements sexuels sur leur fille de 3 ans, sans l’étayer par une attestation, malgré une visite à un premier pédiatre. Et aussi pour viol et violences sur elle-même. La visite à un deuxième pédiatre n’apporte aucun élément probant, et elle reconnaît avoir menti, au bout de six mois. En avril 2017, elle est condamnée par le tribunal correctionnel de Verdun à effectuer 105 heures de travail d’intérêt général dans un délai de 18 mois.
2 janvier 2016 : UN HOMME DE POIX-DE-PICARDIE
Sa voisine de 46 ans, fragile psychologiquement, l’accuse de tentative de viol, à la sortie d’un magasin Carrefour. L’enquête de 5 jours ne permet pas de corroborer ses affirmations, et elle reconnaît avoir tout inventé, semble-t-il par vengeance car elle croyait que son voisin se réjouissait du fait que son fils était en prison. Le 2 novembre, elle est condamnée par le tribunal d’Amiens pour dénonciation calomnieuse à 2 mois de prison avec sursis.
décembre 2015 : UN PERE A CAEN (Calvados)
Suite au divorce, la mère d’origine marocaine obtient la résidence principale de leur fille de 5 ans. Mais elle accuse le père d’attouchements sexuels sur celle-ci, et refuse à plusieurs reprises de la lui présenter. Aucun élément ne venant confirmer la plainte, elle est classée sans suite en février 2016. Le 23 novembre 2016, la mère est jugée pour non-représentation d’enfants par le TGI de Caen.
27 octobre 2015 : L’EX D’UNE FEMME DE CARVIN (Pas-de-Calais)
A Carvin , une femme de 36 ans dépose plainte contre son ex, l’accusant de l’avoir violée pendant qu’un complice faisait le guet. A l’hôpital, elle refuse les prélèvements du médecin légiste. L’analyse de ses communications téléphoniques montre qu’elle a envoyé des messages au moment du présumé viol, puis elle déclare vouloir retirer sa plainte par crainte des représailles. Confrontée à d’autres incohérences, le 29 octobre, elle reconnaît avoir tout inventé pour se venger de son ex. Ce dernier porte plainte contre elle, ainsi que le parquet de Béthune.
20 octobre 2015 : L’"INCONNU" DES BORDS DE LA GARONNE (Sud-Gironde)
Une femme de 35 ans déclare avoir été violée par un inconnu alors qu’elle se promenait sur les bords de la Garonne, à Gadillac. Ne découvrant aucun indice, les gendarmes l’amènent à reconnaître qu’elle a tout inventé. Il s’agit d’une tentative confuse de vengeance contre un homme qui l’a rejetée, et sur lequel elle espérait orienter les soupçons. En février 2017, elle est condamnée par le tribunal correctionnel de Bordeaux à 4 mois avec sursis.
http://www.sudouest.fr/2017/02/22/le-viol-etait-imaginaire-3218779-2780.php
10 octobre 2015 : AFFAIRE DE MAYOTTE
Par téléphone, une jeune femme appelle son ami depuis un taxi, lui disant que le chauffeur est en train de l’enlever, puis de la séquestrer. Elle revient ensuite chez elle, et l’accuse de viol. Mais rien dans l’enquête ne vient confirmer son histoire, et elle finit par avouer qu’elle l’a inventée pour se venger de son ami qui ne voulait pas l’accompagner à une fête d’anniversaire. En mars 2016, elle est condamnée à 2 mois avec sursis.
http://mayotte.orange.fr/actu/mayotte/gros-deploiement-de-moyens-de.html
13 septembre 2015 : AFFAIRE DU TRANSILIEN LA DEFENSE-VERSAILLES
Une femme de 19 ans porte plainte, affirmant avoir été violée par un homme dans le Transilien la Défense-Versailles, au retour d’une soirée en boîte de nuit. Au bout de la quatrième audition, elle avoue avoir inventé l’histoire, par ressenti d’abandon de la part de sa mère. Le 17 février 2016, elle est condamnée par le TGI de Versailles à un mois de prison pour "dénonciation de crime imaginaire".
4 septembre 2015 : AFFAIRE DES HERBIERS (Pays de la Loire)
Une femme affirme avoir été victime d’une agression dans le bois du Dard, en agglomération. Des recherches commencent, mais le 15 elle vient informer les enquêteurs qu’elle a tout inventé.
17 août 2015 : UN MARI DE TILLY-SUR -SEULLES (Calvados)
Son épouse de 48 ans, qui lui a annoncé sa décision de divorcer après 25 ans de vie commune, porte plainte contre lui pour viol et violences conjugales. En mai 2016, lors de la conciliation pour le divorce, elle reconnaît avoir menti. Le 20 octobre, elle comparaît devant le TGI de Caen pour dénonciation calomnieuse, et réaffirme ses accusations, ce qui suscite l’incrédulité du tribunal.
4 juin 2015 : JEAN CARL RICARDO CLAREL LASCIE (Ile Maurice)
Cet employé de l’école Certificate of Primary Education est accusé par une jeune fille de l’avoir attirée dans un bungalow et de l’y avoir violée. L’enquête met en évidence de nombreuses impossibilités. En mars 2016, l’homme est acquitté par la Cour intermédiaire.
2 juin 2015 : UN PROF DE GRAY (Haute-Saône)
Une ancienne élève du Lycée Cournot porte plainte contre ce prof de SVT, l’accusant d’avoir essayé de l’embrasser. Il est convoqué par l’administration du lycée qui l’en informe. Mais la dite administration, quoique forcément au courant des fortes répercussions émotionnelles qu’a eu ce genre d’annonce dans nombre d’affaires antérieures, ne prend aucune précaution particulière, par exemple celle de le faire accompagner. Celui-ci se suicide dans la nuit du 7 au 8 juin.
Voir affaires analogues : Bernard Hanse (7 juin 97), Paul Jacquin (12 avril 2001).
avril 2015 : UN AUSTRALIEN SUITE A UN SELFIE (Melbourne)
Il prend un selfie à côté d’une affiche de Dark Vador, pour l’envoyer à ses enfants. Une mère de famille qui fait ses course juste à côté de lui croit qu’elle photographie ses enfants, prend un cliché de lui et le publie sur les réseaux sociaux, l’accusant d’avoir des intentions douteuses. La publication est vue 20 000 fois. Il reçoit maintes insultes et menace de mort, avant que son accusatrice ne s’excuse publiquement.
avril 2015 : KENNETH L. HERMAN (Montréal)
A Montréal, Tanya Zajdel accuse Kenneth L. Herman, un américain de passsage avec qui elle a eu une relation sexuelle, d’avoir organisé contre elle un viol collectif : elle inonde les réseaux sociaux, et même autoédite un livre à compte d’auteur. Les accusations sont balayées par des images de videosurveillance, et donc classées en juin 2016. En 2020, c’est Herman qui porte plainte : en décembre 2023, la Cour Supérieure condamne Zajdel à le dédommager à hauteur de 2000 000 dollars. Ce qui est peu au regard de cinq qannées de vie bafouées et vécues dans l’angoise, mais au moins la Justice a fait son travail, ce qui n’est pas forcément le cas chez nous.
28 janvier 2015 : UN MEDECIN A CONDE-SUR-L’ESCAUT (Nord)
Une demoiselle Ducrocq, quadragénaire, écrit au Conseil de l’ordre pour dénoncer ce médecin, qui aurait exigé d’elle une fellation en pleine consultation. Ce qui est contradictoire avec le fait qu’elle lui ait envoyé, avant et après, plusieurs messages passionnés. Le 11 mai, jugée pour ce fait et aussi pour outrage à une adjointe de sécurité, elle est condamnée à six mois avec sursis.
( ?) 2014 : JIAN GHOMESCHI (Toronto, Canada)
Dans une enquête du Toronto Star, huit femmes dénoncent cet animateur télé très populaire, qui les aurait violentées physiquement et sexuellement en 2002 et 2003, puis portent plainte contre lui. En mars 2016, à Toronto, un premier procès instruit les plaintes de trois d’entre elles. L’avocate de JG les interroge très précisément, et pulvérise leur crédibilité : versions des faits contradictoires, dissimulation d’informations, reprise de relations amicales après les présumées agressions. Au point que JG n’a même pas à témoigner. Le 24 mars, le juge le déclare non-coupable, au titre qu’il ne peut pas se fier aux témoignages des plaignantes.
http://plus.lapresse.ca/screens/66d990a4-7f68-4866-aa97-bd0e3038477d
fin décembre 2014 : MARKUS HURLIMANN (Suisse)
Au lendemain d’une fête arrosée célébrant l’élection du gouvernement peu avant Noël, la députée verte Jolanda Spiess-Heglin l’accuse de lui avoir administré la drogue du violeur et d’avoir abusé d’elle. Cela lui coûte la présidence de la section cantonale de l’UDC. Mais l’enquête aboutit à un classement sans suite. Il porte plainte contre son accusatrice.
https://www.tdg.ch/suisse/faits-divers/jolanda-spiesshegglin-inculpee-calomnie/story/19343636
décembre 2014 : AFFAIRE THERESE BOURGOUIN (Rivière-du-Loup, Québec)
Cette femme de 34 ans affirme avoir été victime de violation de domicile, séquestration et agression sexuelle, accusations ensuite démenties par l’enquête. En octobre 2015, elle comparaît à Rivière-du-Loup pour méfait public, et se voit notifier une obligation de soins.
sequestration-et-dagression-sexuelle
(?) 2014 : UN EPOUX SARTHOIS
Son épouse porte plainte pour viol et violences conjugales. Il passe huit mois en détention provisoire. Mais de nombreux témoignages viennent contrer l’accusation. Il obtient quatre jugements favorables. En mai 2022 (au bout de 7 ans !), la Cour d’appel d’Angers rend un arrêt qui reconnaît son innocence, définitif car la plaignante ne s’est pas pourvue en cassation.
novembre 2014 : AFFAIRE DU ROLLING STONE (USA)
Ce magazine publie un article relayant l’accusation d’une étudiante de l’Université de Virginie, affirmant y avoir été victime d’un viol collectif, et n’avoir pas été soutenue par les responsables universitaires. L’enquête policière met en évidence les incohérences de l’accusatrice. En avril 2015, Rolling Stone se rétracte. Suite à une plainte de l’université, le magazine et l’auteure de l’article sont condamnés à lui verser des dommages et intérêts.
20 octobre 2014 : AFFAIRE CAROLE THOMAS (Québec)
Cette québécoise de 47 ans prétend avoir été entraînée par un homme dans une voiture et agressée sexuellement à Longueil, dans le même secteur où a été retrouvé, deux jours plus tard, le corps inanimé d’une jeune femme, ce qui donne du crédit à l’accusation. En février, elle se répand dans les médias en accusant la police de ne pas travailler à son affaire. Mais celle-ci l’arrête le 2 mars 2015, convaincue qu’elle a tout inventé (à comparer à l’affaire Lola du 25 juin 2014). En octobre 2016, elle est condamnée à 15 mois de "détention" (à domicile...).
4 octobre 2014 : UN MILITAIRE DE LA LEGION ETRANGERE (Var)
Une femme porte plainte contre ce militaire engagé depuis un an à la Légion étrangère. Celle-ci met fin à son contrat le 9. Le procès a lieu le 12 décembre 2017, devant la Cour d’Assises du Var. L’ex-militaire continue d’affirmer que la relation était consentante, suite à une soirée arrosée passée ensemble (il a d’ailleurs été retrouvé dormant sur le lit de la plaignante). Celle-ci affirme qu’il l’a menacée avec un couteau, mais sur celui-ci c’est son ADN à elle qu’on retrouve. Elle n’est d’ailleurs ni présente, ni représentée au procès. La Cour acquitte l’ex-militaire en moins d’une heure de délibéré.
19 août 2014 : UN POLICIER DE CHATEAUROUX
Sa compagne de 26 ans, policière elle aussi, l’accuse de viol. Puis, le 16 décembre, se présente au commisariat pour se rétracter (elle expliquera ensuite avoir pris conscience des conséquences dramatiques de son acte). Le 8 avril 2015, elle est condamnée par un tribunal de Chateauroux à 18 mois de prison avec sursis.
25 juin 2014 : AFFAIRE LOLA (Perpignan)
Une femme de 26 ans ainsi prénommée affirme avoir été violée sous la menace d’un couteau, en plein jour dans une rue passante de Perpignan, par un homme dont le complice filmait la scène, sans qu’aucun passant n’intervienne.
Les fonctionnaires de police et de justice se mobilisent et vont consacrer au total 400 heures à l’élucidation de l’affaire. Lors d’une audition, pourtant, Lola insulte un policier en l’accusant de ne pas rechercher ses agresseurs. Le 3 juillet, elle organise une conférence de presse pour appeler les témoins à se manifester, et proclamer sa volonté de lutter contre le viol, en solidarité avec toutes les victimes. Le 6, elle initie et conduit une marche blanche, au terme de laquelle elle entonne la chanson Imagine. Des milliers de personnes affirment leur soutien sur les réseaux sociaux.
La police s’interrogeant sur certaines incohérences de son récit, la place en garde à vue le 16, mais, pendant les vingt-quatre heures, elle maintient sa version. Le 17, après avoir été libérée, elle fait savoir par l’entremise de son avocat qu’elle a tout inventé. Le procureur annonce qu’elle sera poursuivie seulement pour l’outrage au policier, et non pour dénonciation de crime imaginaire, au titre que le psychiatre qui l’a expertisée a conclu que son discernement était aboli au moment des faits. Le 25 juin, elle est condamnée à... 300 euros d’amende.
lindependant.fr/2014/07/18/violee-en-plein-jour-lola-avoue-elle-a-menti,1908582.php
mai 2014 : JOHN DOE (University of California san Diego, USA)
Cet étudiant a des rapports sexuels avec une étudiante, Jane Roe, les 31 janvier et 1er février. Celle-ci lui envoie ensuite des textos amicaux pendant plusieurs mois. Mais en mai, elle porte plainte, arguant que le premier jour, elle était ivre, et que le deuxième, même si elle était consentante, elle ne l’était pas pour que John lui mette les doigts dans le vagin. L’Université déclare John coupable de "mauvaise conduite sexuelle" et le suspend un an. Il initie un procès contre l’institution, pour l’instant perdu.
https://www.slate.fr/story/148629/campus-americains-lutte-agressions-sexuelles
22 avril 2014 : AFFAIRE DU 36 QUAI DES ORFEVRES (Paris)
Ce soir-la, Emily Spanton, une touriste canadienne un peu alccolisée avait rencontré des policiers dans un pub en face du siège de la police parisienne. Ceux-ci l’avaient invité à visiter les locaux, dont elle ressortait, une heure plus tard, en les accusant de viol. En première instance à Paris, Antoine Quirin et Nicolas Redouane plaident le consentement, mais ils sont condamnés à 7 ans de prison. Le 22 avril 2022, en appel, ils sont déclarés innocents par la Cour d’assises du Val-de-Marne. La défense a mis en cause la "crédiblité" de la plaignante, et pointé des "déclarations évolutives" et des "mensonges" de sa part.
https://fr.news.yahoo.com/viol-au-36-quai-orf%C3%A8vres-133601985.html
19 avril 2014 : TROIS "JEUNES" DE MONTARGIS
Une femme de 29 ans, à moitié nue, est prise en charge dans la rue par une patrouille de police. Elle déclare avoir été déposée là par trois jeunes hommes, rencontrés en boîte de nuit, qui, après lui avoir proposé de la ramener à Troyes, l’auraient séquestrée dans un appartement, puis violée. Au terme d’une longue enquête, elle reconnaît les avoir suivis et quittés après s’être prêté à leurs jeux, de son plein gré. En février 2017, elle est condamnée à 6 mois de prison ferme et 3000 euros d’amende.
avril 2014 : JAMES ZAARA, YVAN ARSENAULT (Laval, Québec)
A l’issue d’un voyage à Cancun, Nadia Fiasche accuse ces deux hommes de l’avoir violée dans une chmabre du Hard Rock Hotel local. Elle porte plainte à la fois au Mexique et au Québec.Un tribunal mexicain lance un mandat contre les deux hommes : Zaraa est arrêté et coincé six mois au Liban, Arsenauult voit son passeport canadien invalidé. Mais tout était faux, comme l’établit la Cour Supérieure, à partir de texto qui montrent que la plaignate a tout inventé sous l’effet d’une jalousie pour une autre femme. Elle est condamnée à verser 300 000dolars à Zaraa et 45 00 à Asenault.
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janvier 2014 : AFFAIRE DE BELLOCQ (Pyrénées-Atlantiques)
Une femme de 36 ans prétend avoir été enlevée à Puyoo et violée à Bellocq ; elle achète des collants et du tissu censés avoir servis aux agresseurs, et les remet à son compagnon. Celui-ci porte plainte, ce qui déclenche un an d’enquête, laquelle conclut à l’affabulation. Le 11 mai 2017, elle comparaît à Pau pour dénonciation calomnieuse, et déclare qu’elle a agi pour amadouer son mari qui la malmène : elle est condamnée à 4 mois avec sursis.
21 décembre 2013 : AFFAIRE DU MANS (Maine)
Une jeune fille de 15 ans est trouvée en pleurs dans le parc du Gué-de-Maulny, près de la gare. Elle dit avoir été enlevé puis violée dans une cave des Glonnières par 5 personnes. Ses incohérences s’accumulant, elle finit par avouer qu’elle a tout inventé pour cacher à sa mère une sortie à Paris qu’elle a effectuée sans autorisation.
(?) 2013 : UN PERE A VIRE (Calvados)
A l’occasion de la séparation, la mère porte plusieurs plaintes contre le père pour de présumées agressions sexuelles contre leur petite fille. Elle obtient la résidence principale des 2 enfants. Les plaintes sont classées sans suite, mais elle ne présente jamais les enfants au père pendant trois ans. Le 29 mars 2017, le TGI de Caen la condamne pour non-représentation d’enfants.
(?) 2013 : UN HOMME A DIETIKON (canton de Zurich, Suisse)
Son épouse, une jamaïcaine, l’accuse à plusieurs reprises de violences physiques et de viol. Il est arrêté. Il passe 203 jours en préventive, puis est acquitté et indemnisé. Elle est à son tour poursuivie pour dénonciation calomnieuse : acquittée au bénéfice du doute pour certains reproches, elle est condamnée à deux ans avec sursis et à une peine financière.
http://www.tdg.ch/suisse/accuse-faussement-mari-acquittee/story/15501117
(?) 2013 : ANDRE BORDELEAU (Québec)
Ce quinquagénaire, "animateur à la vie étudiante" dans un établissement secondaire à Marieville en Montérégie (Québec), est accusé d’agression sexuelle. La présumée victime est une élève qui avait alors 15 ans, et le contexte un voyage au Guatémala l’année précédente, où il serait entré dans sa chambre. Il est affecté à un poste administratif, puis muté dans un autre établissement, puis fait une dépression et prend un congé maladie. Deux élèves qui partageaient la chambre de l’accusatrice témoignent qu’elle a dormi toute la nuit de la présumée agression, et que personne n’est entré dans la chambre. Le 30 juin 2016, il est acquitté par un tribunal de Saint-Hyacinthe.
http://www.journaldemontreal.com/2016/06/30/sa-vie-a-ete-detruite
octobre 2013 : UNE STRUCTURE DE JEUX A FOETZ (Luxembourg)
Une française qui travaille dans un hôpital du Luxembourg y entend la rumeur d’attouchements sur une petite fille de 5 ans, dans une structure de jeux pour enfants à Foetz. De retour en France, elle en fait part à une amie, qui la publie aussitôt sur les réseaux sociaux. Une enquête immédiate démontre la fausseté de l’info, mais le nombre d’entrées sur la structure chute considérablement. La strucutre porte plainte pour calomnie. Le 11 décembre 2017, l’amie comparaît devant la 12e chambre correctionnelle de Luxembourg.
https://www.lequotidien.lu/a-la-une/fausse-accusation-dagression-sexuelle-je-voulais-juste-prevenir/
2 octobre 2013 : PASCAL PHILIPPE (Pas-de-Calais)
Ce quinquagénaire, adjoint au maire de Loisons-sous-Lens fait l’objet d’une plainte pour viol d’une femme de 20 ans. Il est démis de ses fonctions, exclu de participation aux élections municipales suivantes, et commence une forte dépression. Le 21 octobre, elle avoue avoir menti, pour des raisons nébuleuses. En octobre 2014, elle est condamnée par le tribunal de Béthune à 4 mois de prison avec sursis, 105 de travail d’intérêt général, et 7500 euros de dommages et intérêts.
juin 2013 : FREDERIC LAGERSIE (Groffliers, Nord)
Boulanger installé à Groffliers, il est accusé d’attouchements par une de ses employées. Il subit 20 heures de garde à vue et une perquisition. Mais l’accusatrice reconnaît avoir menti, sans donner d’explication.
mai 2013 : UN PERE A LE PORT (La Réunion)
Séparé de sa femme depuis la naissance de sa fille de 4 ans, il partage la garde avec elle. Constatant que la petite mime des comportements hypersexualisés, et confortée par les questions qu’elle lui pose, la mère porte plainte contre lui. Placé sous contrôle judiciaire, il n’est plus autorisé à voir sa fille. L’accusation de pénétration est écartée suite à l’examen médical. Au procès au tribunal de Champ-fleuri, le 9 octobre 2017, soit 4 ans plus tard, son avocat démontre en décortiquant ses déclarations que, si celle-ci a peut-être été témoin d’un acte sexuel, elle n’en a pas été la victime. Le père est relaxé.
17 avril 2013 : UN PERE DE VENISSIEUX (Rhône)
Divorcé, ce père assure la résidence principale de deux de ses filles. La troisième, âgée de 15 ans, vient chez lui régulièrement mais habite chez sa mère. Celle-ci l’accuse d’attouchements sur cette troisième fille, qui confirme les dires de sa mère. Mais dans la suite de l’enquête, elle est amenée à reconnaître que c’est sa mère qui a tout inventé, pour obtenir la résidence principale de ses deux soeurs.
avril 2013 : PAUL NUNGESSER (Colombia University, New York, USA)
Cet étudiant est accusé par une étudiante en quatrième année d’arts visuels, Emma Sulkowicz, de l’avoir violée dans sa chambre le 27 août 2012. Pourtant, ces deux personnes, qui ont effectivement été amants, ont échangé, dans les jours suivant cette date, des messages amicaux voire romantiques. Le procureur de New-York conclut à une "absence de soupçon raisonnable", de même que l’université. Mais Sulkowicz maintient son accusation, et devient une égérie de la lutte contre les agressions sexuelles, allant jusqu’à organiser des défilés où elle porte le matelas sur lequel elle est censée avoir été violée. Le nom de Nungesser est publié dans tous les médias. Au final il obtient des dommages et intérêts de l’université.
https://www.slate.fr/story/148629/campus-americains-lutte-agressions-sexuelles
18 mars 2013 : AFFAIRE DE MONTEUX (Vaucluse)
Une assitante vétérinaire de 24 ans prétend avoir été violée et assommée, lors d’un jogging dans la zone de Beaulieu, par un individu dont elle donne un signalement précis. L’enquête dure plusieurs mois. Mais les prélèvements sur ses vêtements ne font apparaître que des traces appartenant à son compagnon, âgé de 25 ans, qui est placé en garde à vue. Elle avoue alors avoir tout inventé, sans être en mesure d’expliquer pourquoi.
http://www.ledauphine.com/faits-divers/2016/12/07/elle-avoue-avoir-invente-son-viol
(?) 2013 : PAUL BEGUE (Trois-Bassins, La Réunion)
Ce grand-père retraité septuagénaire est accusé d’attouchements par sa petite-fille de 4 ans et demi. Le tribunal correctionnel de Saint-Pierre l’acquitte, mais le procureur fait appel. Le 31 octobre 2013, au procès en appel, à Saint-Denis, il se présente, faute de moyens, sans avocat, et, incapable de se défendre, est condamné à 4 ans. Depuis sa prison, il fait appel à Maître Robert Ferdinand, qui, au bout de 4 mois et 20 jours, obtient sa libération conditionnelle et se pourvoit en cassation. En 2015, il obtient de la Cour la cassation du jugement en appel, au titre que Paul Bègue n’y avait pas bénéficié d’un avocat commis d’office. L’agent judiciaire du trésor ne lui proposant que 9000 euros d’indemnisation, il engage une procédure pour en obtenir 124 000.
(?) 2012 : JOHN TAYLOR (Thanet, Kent, Grande-Bretagne)
Ce prêtre de 49 ans a un soir une relation consentie avec une femme de 20 ans. Peu après, elle l’accuse de viol. Ses paroissiens perdent toute confiance en lui, et il perd le droit de visite des enfants qu’il a eus avec son ex-épouse. Mais les analyses font apparaître qu’il n’y a aucune trace génétique sur le canapé où l’accusatrice affirme que se sont déroulés les faits. Celle-ci avoue s’être identifiée aux personnages de Martina Cole, qui sont souvent des femmes subissant les violences d’hommes d’église. Il est innocenté en avril 2013, au bout de 14 mois d’angoisse.
décembre 2012 : UN PERE DE THIMISTER (Belgique)
Après séparation, et par refus de partager la résidence de leur fille de 4 ans, son ex-compagne porte plainte contre lui pour attouchements sur celle-ci. Comme l’enquête ne confirme pas l’allégation, en mai 2013, c’est la mère de l’ex-compagne qui l’accuse à son tout. La plainte est classée sans suite et, début 2014, il obtient la résidence alternée. Mais un mois plus tard, l’ex-compagne réitère sa plainte et refuse de lui confier l’enfant pour les vacances de Pâques. En janvier 2018, l’ex compagne et sa mère sont condamnées par le tribunal correctionnel de Liège.
2 novembre 2012 : LORD Mc ALPINE (Grande-Bretagne)
Newsnight, émission d’investigation de la BBC, diffuse le témoignage d’une victime d’abus pédophile, Steve Messham, qui désigne implicitement cet ancien responsable politique membre du parti conservateur. Le lendemain, il se rétracte, affirmant s’être trompé de personne. La BBC s’excuse et indemnise Lord McAlpine à hauteur de 229 500 euros.
http://www.elle.fr/Societe/News/GB-la-BBC-accuse-a-tort-un-homme-politique-de-pedophilie-2246228
septembre 2012 : AFFAIRE DE MARSEILLE
Une femme de 18 ans, qui semble choquée, dépose plainte pour un viol collectif qu’elle raconte dans les moindres détails : un inconnu à qui elle avait demandé son chemin l’aurait conduite chez lui, où se trouvaient 4 hommes qui auraient abusé d’elle. Mais elle est se révèle incapable de trouver l’appartement, et finit par reconnaître avoir tout inventé. Son casier judiciaire révèle qu’elle a déjà procédé à une fausse accusation en juillet 2009.
http://www.elle.fr/Societe/News/Une-jeune-fille-invente-un-faux-viol-collectif-2192376
juin 2012 : UN FOOTBALLEUR ET UN EMPLOYE DE CLUB (Berlin)
Gina-Lisa Lohfink, starlette de la téléréalité allemande, porte plainte contre eux pour violation des droits de la personnalité, puis pour viol, déclenchant une vague de solidarité. Le changement de motif de la plainte, puis des videos où on la voit s’amuser avec les deux hommes, la disqualifient. En 2015, elle est condamnée à une amende de 24 000 euros pour dénonciation calomnieuse. L’appel confirme le jugement en août 2016, ce qui n’empêche pas les associations misandres de continuer à la soutenir inconditionnellement.
juin 2012 : ERIC M. (Chantilly)
En pleine procédure de séparation et avec la ferme volonté d’obtenir la résidence principale de leur fille Loréna (4 ans), son épouse Sylvie dépose plainte contre lui pour agression sexuelle contre celle-ci, ce que conforte une première expertise. Un an plus tard elle produit une video où l’enfant, dans son bain, affirme qu’il "lui avait mis un doigt dans le vagin". En juin 2013, une deuxième expertise constate "une lésion au niveau de l’hymen". Très soutenu par ses proches, Eric M. nie en bloc, et dénonce la volonté d’accaparement de la mère. En octobre 2013, il est mis en examen. Au procès de juin 2017, il accuse la mère d’avoir manipulé l’enfant, voire provoqué la "lésion". Il est acquitté.
9 mars 2012 : MOHAMED FOURTI (Val d’Oise)
A Goussainville, un petit garçon croit reconnaître en MF, un cariste tunisien, l’homme qui aurait abusé de lui six jours plus tôt, et le fait emmener au commissariat par son père. Selon l’enfant, alors que ses parents d’origine haïtienne l’avaient envoyé à l’épicerie, l’homme lui aurait fait croire qu’il allait lui donner son iPhone pour l’entraîner dans un coin tranquille.
Malgré les dénégations de Mohamed, l’absence de témoins et d’empreintes génétiques, celui-ci est condamné à 10 ans de prison car l’opérateur Orance certifie qu’il s’agit bien de son iPhone.
Le 25 mars 2016, à Versailles, en appel, l’enfant, désormais âgé de 13 ans, continue de l’accuser. Mais son avocat ayant démontré qu’Orange avait travaillé sur un numéro incomplet, MF est acquitté, après avoir effectué trois ans de prison.
23 février 2012 : LES EPOUX PHILIPP (Alsting, près de Forbach)
Les deux jeunes filles (9 et 13 ans), qui leur sont confiées depuis des années par l’ASE, leur sont retirées, suite à un signalement pour maltraitance (dont agression sexuelle), qui a pour origine un dessin au caractère jugé pornographique, attribué à la cadette. Le parquet de Sarreguemines renonce à les poursuivre, mais pas le Conseil général de Moselle. En novembre 2014, et malgré le soutien du village, Roger est condamné à trois ans de prison par le tribunal correctionnel de Sareguemines. Le dessin semble finalement ne pas avoir été réalisé par la jeune fille. En septembre 2015, la Cour d’appel de Metz le blanchit.
début 2012 : CHRISTOPHE (La Rochelle)
Vanessa, 15 ans, se plaint auprès de ses copines d’attouchements dont elle serait victime de la part de son beau-père, Christophe, 31 ans. Mise au courant, l’administration du collège procède à un signalement. Le processus judiciaire s’enclenche et aboutit à un procès, en novembre 2013, auquel Vanessa, sa mère et Christophe arrivent... bras dessus bras dessous. Vanessa déclare avoir tout inventé, et donne des explications confuses. Christophe est relaxé. (Noter la ressemblance avec l’affaire Madeira : voir 1999).
VOIR LES COMPLEMENTS DE CETTE RUBRIQUE :
RECENSION / les affaires de fausses accusations de violences sexuelles, 1997>2011 et 2020>
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