Manifestation du 14/9/24 à Paris (affaire de Mazan)
Manif du 8 mars 2024 à Paris
Gay pride 2023
Manifestation du 6 mars 2016 à Belleville
Manifestation en faveur du mariage homosexuel, 19 janvier 2013, Paris
Quinzaine de l’égalité Femmes-hommes, octobre 2012 (Conseil régional Rhône-Alpes)
sur le thème : Le pouvoir a-t-il un sexe ?
Ni putes ni soumises, septembre 2012
Campagne contre le meurtre conjugal. Le nombre des victimes est puisé dans l’Enquête sur les morts violentes dans le couple de 2010. Mais celle-ci comporte aussi un chiffre pour les hommes victimes. Où est-il ? Pourquoi est-il occulté ? Pourquoi ce type de crime est-il réduit à une "violence contre les femmes" ?
Sécurité routière/ 8 mars 2012
La campagne s’intitule Manifeste des femmes pour une route plus sûre. Seuls les hommes sont dangereux sur la route. L’autre sexe ne fournit que des conductrices parfaites, et surtout des victimes de l’inconscience des conducteurs.
Clair et net : les trois représentations d’hommes (voir leurs mains), et seulement d’hommes, qui illustrent la campagne sont celles de monstres :
Amnesty Belgique/ 8 mars 2011
A nouveau (voir février 2009) l’association publie un "dazibao" (sic - en fait un poster). Il met en scène deux conjoints à l’heure du coucher, assis dans le lit conjugal l’un à côté de l’autre, vus de face. Chacun est occupé : elle lit, lui a dans les mains ce qu’on pourrait prendre pour un ordinateur, mais est en fait une plaque d’immatriculation de prisonnier. En bas l’image est légendée : 1 femme sur 5 vit avec un criminel. Stop à la violence conjugale
Fédération nationale solidarité femmes (FNSF), 2006
Campagne 2006 : Un homme qui maltraite sa femme apprend la violence à ses enfants
Le spot créé par l’association s’inscrit dans le cadre d’une nouvelle campagne télévisuelle sur la violence conjugale. Sans surprise, son a priori est sexiste : lui violent, elle victime. Mais il fait un nouveau pas dans l’ignoble. Le spot prétend "faire comprendre que toute forme de violence dans la cellule familiale a aussi des conséquences dramatiques sur leurs propres enfants" - ce qui est une intention tout à fait louable. On s’attend donc à voir, outre un couple qui se déchire, des enfants des deux sexes qui pleurent, dépriment, s’autoflagellent ou se battent entre eux. Il n’y a malheureusement que l’embarras du choix. Mais ce qui nous est montré est tout autre : la mère tombe à terre sous les coups de son conjoint ; l’image d’un jeune garçon plutôt gracieux se profile ; il s’approche de sa mère... et, spontanément, complète le travail à coups de pied. Le message est clair : les hommes, les pères sont violents, mais aussi - par hérédité ou conditionnement - les jeunes garçons.