MARIAGES FORCES

 

 

Lorsqu’un mariage est organisé sous la contrainte des familles, et sauf cas particulier, il y a deux victimes : la jeune fille (ou la femme) d’une part, le jeune garçon (ou l’homme) d’autre part. La croyance si répandue selon laquelle il s’agirait exclusivement d’une "violence contre les femmes" est révélatrice de la puissance de l’idéologie misandre. La campagne d’avril 2009 contre les mariages forcés, lancée par le Secrétariat à la solidarité (Valérie Létard), était complètement discriminatoire, puisqu’elle ne s’adressait qu’aux victimes féminines :

travail-solidarite.gouv.fr/actualite-presse/discours/presentation-outils-contre-mariages-forces-intervention-ministre.html

Mais en 2015, la campagne de Voix de femmes, soutenue par le Secrétariat aux Droits des femmes, ne vaut guère mieux, comme en témoigne ses affiches, où n’apparaissent pas de victime masculine.

Voir à ce sujet les saisines de la Halde par le GES..

Il s’agit du même procédé d’occultation utilisé dans le domaine des violences familiales. 

Dans cette rubrique, nous reproduisons des textes qui montrent que les deux sexes sont également victimes de cette pratique barbare, que nous combattons pour en libérer l’un tout autant que l’autre.

 

Exemple a contrario : le logo d’un site belge sur le sujet, très honnête



Le tribunal annule un mariage "arrangé" entre deux cousins marocains. Rue Frontenac, 16 novembre 2009


Mariages forcés : les garçons aussi. Der Spiegel, 28 novembre 2008




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